La danse égyptienne plonge ses racines dans les anciens cultes des divinités féminines du bassin méditerranéen.
Transmise par les femmes arabes, elle permet d’explorer en profondeur les principes du féminin. Reproduisant bon nombre de positions des divinités égyptiennes si bien préservées dans les bas-reliefs des temples pharaoniques, cette danse révèle par le corps, le rôle essentiel de la sensualité, la beauté et l’amour dans les rapports humains.
À travers le répertoire musical égyptien, les différentes traditions dansées (rurale, citadine, classique, percussion), ce cours permettra d’acquérir une autre qualité de présence, une conscience différente du corps.
Transmise par voie orale, de génération en génération depuis la nuit des temps, accessible à tous les âges, la danse égyptienne participe à ces coutumes d’initiation de la femme par la femme où dans l’intimité de leurs échanges, elles s’encouragent mutuellement à incarner leurs atouts et leurs sagesses . Cette danse est un art de vivre et de guérison, elle permet de retrouver le véritable sens de la beauté et de la sensualité qui vient des profondeur de notre corps et de notre âme dans l’union sacrée de notre puissance créatrice et de notre rayonnement d’amour.
En pratique
Les cours ont lieu à Ohain, route de la Marache 31 de septembre à juin
- Cours du jeudi – 19h30 à 21h: niveau débutant & moyen
- Cours du mardi – 11h à 12h30: niveau moyen et avancé
- Cours du samedi – 16h30 à 18h00: niveau avancé
Tarif: 270€/an
Inscription: Par le versement de 270€ sur le compte de Bayat-al-Hikma BE23 7360 0043 9291 avec mention “Cours de danse 2025-2026 & cotisation”
Plus d’information:
Tel Monique Fortamps: 0475 30 64 29
En pratique
Les cours ont lieu à Lasne, route de la Marache 31 de septembre à juin
- Cours du jeudi – 19h30 à 21h: niveau débutant & moyen
- Cours du samedi – 16h30 à 18h00: niveau avancé
- En fonction des inscriptions, possibilité d’un cours le mardi à 11h.
Tarif: 270€/an
Inscription: Par le versement de 270€ sur le compte de Bayat-al-Hikma BE23 7360 0043 9291 avec mention “Cours de danse 2024-2025 & cotisation”
Plus d’information:
TEL
SMS
Enseignement et transmission
Monique FORTAMPS donne à la danse orientale une dimension spirituelle en faisant découvrir comment chaque mouvement induit dans le corps les réponses à des besoins fondamentaux tels que : l’estime de soi, la beauté, le plaisir, l’enracinement, le lâcher-prise…
Par sa connaissance des positions rituelles des divinités inscrites dans les tombes et les temples de l’ancienne Egypte, elle met en vie, par la danse, cette magnifique sagesse millénaire.
Nos élèves témoignent

Yvette Joly
MA danse égyptienne
Sous la guidance de Monique, avec mes compagnes danseuses, j’explore des sensations nouvelles en mettant en mouvement des parties de mon corps jusqu’alors endormies. Jusqu’au bout de mes doigts, tout s’anime et s’harmonise. Je deviens complice de mon corps. J’ouvre mon coeur, je m’ancre et me dépose en moi-même.
Les répertoires enseignés
On a peu de représentations des danses de l’Egypte ancienne. Quelques très belles peintures dans les tombes de la vallée des Nobles ou de rares bas reliefs dans le temple de Louxor laissent penser que les danseuses étaient aussi prêtresses, musiciennes et acrobates. C’était une danse sacrée et ritualisée, destinée à honorer les divinités.
Avec l’occupation byzantine, puis arabe, la danse quitte l’enceinte du temple pour se retrouver dans une sphère familiale et de divertissement. On a très peu de trace sur la vie des danseuses et leurs styles, mais il y a une fidélité très rigoureuse par rapport aux danses antiques. De génération en génération, la transmission se réalise dans les familles, tout comme aujourd’hui d’ailleurs puisqu’à ce jour, il n’y a toujours pas, en Egypte, d’écoles de danse où l’on enseigne cette tradition…
Le 19ème siècle est plus riche en illustrations et descriptions. Les danseuses exercent une véritable fascination sur les voyageurs, les peintres dits “orientalistes”, les soldats des armées d’occupation française et anglaise, à tel point qu’ils ne captent pas l’expression de tout le corps mais leur regard est littéralement aimanté par les transes du ventre. De là, nait la dénomination appauvrie de “danse du ventre”….
Il faut attendre l’apparition du cinéma et la popularité des films égyptiens dès les années 1930, pour constituer une “Mémoire” des types de danses où les interprétations des grandes divas comme Naïma Akef, Samia Gamal, Taheya Carioca,Nagwa Fouad et tant d’autres anonymes mais tout aussi talentueuses , sont enfin mises à l’honneur et conservées. Ces danses font partie du patrimoine de l’Egypte au même titre que ses monuments les plus prestigieux, même si l’exercice de la danse est, en Orient, toujours et plus que jamais menacée pas les intégrismes religieux.
S'inscrire
Par le versement de 260€ sur le compte de Bayat-al-Hikma : BE 23 7360 0043 9291 avec mention “Cours de danse 2023-2024 & cotisation”